La cordée (opus5)

La cordée (opus5)

© Chasseur de Temps

Description:

Aiguille du Midi 3842m. Nous sommes début septembre. Le thermomètre affiche -10°C. Le vent souffle en rafales à 7Okm/h. Une image que je destine plus particulièrement à notre ami Le Menet qui semble affectionner ce genre d'endroit mais qui n'a pas hésité à les quitter un instant pour venir me suivre sur les pistes rwandaises. Pas exactement le même monde et je lui en suis doublement reconnaissant!

4 Commentaires


Chasseur de Temps
23/01/2011
Moi, alpiniste chevronné! Certainement pas (ce n'est pas une blague) Je ne suis pas alpiniste non plus, mais j'aime fréquenter les gens capables d'aller jusqu'au bout de leur rêve (et de nouveau ce n'est pas une blague !)
Chasseur de Temps
24/01/2011
Ton commentaire me réjouit Lilytana car il est une belle illustration de ce que je dis dans ma fiche individuelle de présentation. " Le photographe, lui, raconte. L'image est son langage, elle lui sert à exprimer ses sentiments, elle est l'expression de sa sensibilité et peut se permettre d'aller au-delà du réel pour ne plus être simple témoignage mais devenir création véritable." On est en plein dans le sujet avec cette image. Et c'est pour cela que je confirme que je n'ai jamais été alpiniste. (Si je fus sportif de bon niveau, c'était il y aura bientôt 1/2 siècle!) Par contre, j'ai bien cherché, avec cette photo, à provoquer chez les personnes qui auraient l'occasion de la voir ces impressions que tu as éprouvées. La "réalité" que tu perçois est tienne et c'est bien le principal. Mais , entre-nous, arriver à aller faire cette photo à 3842m d'altitude qu'est-ce que ça prouve? Simplement que j'y étais! Rien d'autre!
Ondine
24/01/2011
J'aime beaucoup cette image, d'abord pour sa présentation réussie, les couleurs, la diagonale, la netteté parfaite, mais aussi pour ce sentiment que l'on doit éprouver, devant un tel Massif et une telle altitude, d'être infiniment petit et peu de chose sur cette planète et en même temps de dominer, en toute humilité, une merveille terrestre, de pouvoir laisser son regard errer très loin, presqu'à l'infini, laisser vagabonder son imagination, j'ai du mal à bien exprimer ce que je ressens fortement, mais j'ai du mal à quitter cette image que j'ai mise depuis deux jours en fond d'écran, et pour cela, merci !
Le Menet
28/01/2011
Admiratif devant cette photo,merci de nous faire partager tes expériences de voyageur et cette sérénité qui transparait dans tes images. Cher Chasseur de Temps continues à nous enthousiasmer. le menet